Bon ...
Si vous voulez abandonner le orange, il nous faut quand même une couleur voyante, absolument (et je ne lacherai rien la dessus). L'impact sur notre visibilité aux yeux des autres est plus qu'important.
Mais alors que prendre à la place ? Ok il y a eu le Droit et 2-3 pulls de cours, mais ce n'est rien du tout quand on compare cela au total des régionales+cercles+années d'études dans chacune des facultés du site ... Le orange reste quand même une couleur très peu prisée. En plus nous avons l'avantage d'avoir été les premiers, et on nous identifiera toujours à cela avant les autres : C'est TRES important !!
Changer de couleur pour changer, je n'en vois pas l'utilité : C'est juste psychologique car on peut changer le design complet du polo pour qu'il ait l'air bien différent sans en changer les couleurs dominantes !
Troisièmement, vu le prix, on ne changera pas de matrice cette année.
En résume, gardons la continuité du orange dominant + "x couleur" mais changeons absolument le design, je suis d'accord pour ça.
J'oubliais : En ce qui concerne la décision finale, prenons la dès les premières réunions (je ne me fais pas d'illusions pour la première) et votons ...
1° Pour ou contre le changement de couleurs (dominante et secondaire)
2 ° Pour ou contre le changement de dessin
3° En cas de couleurs identiques, pour ou contre le changement de design du polo
4 ° Pour ou contre le KW
-> Vote à majorité simple et à main levée à la fin des débats, pour éviter de traîner sur cette question... Gardons notre énergie pour ce début d'année décisif.
Bisous à toutes et à tous !
Tuk
Spécialiste en propagation d'expressions au sein de la MSC : Notamment responsable du "Bon ben hon", "tu cartonnes", "Jean-Luc ?","otage", "il va se calmer Charles Ingalls ?", "vazy reste tranquille !", "mmmh tes moustaches", "elle s'en prend plein le petit", enchaîne", "j'en ai rien à fouTT' ", et autres joyeusetés...
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"La tâche des instituteurs, ces obscurs soldats de la civilisation, est de donner au peuple les moyens intellectuels de se révolter" (Louise Michel).